- Les patchs sont autorisés dès l’âge de 15 ans.
- Ils libèrent de la nicotine plus lentement que les gommes et les comprimés, mais de façon plus constante et durable pendant la journée.
- Ils présentent l’avantage de pouvoir se combiner à d’autres types de substituts nicotiniques, ce qui est très efficace face à un besoin impérieux de fumer.
- Il est possible de poser simultanément plusieurs patchs jusqu’à 4 de 21 mg chez les gros fumeurs. Contrairement à une idée répandue, il n’est pas « dangereux » de fumer en portant un patch (mais cela signifie que le dosage en nicotine est probablement insuffisant si l’envie de fumer persiste). Cela peut aussi entraîner un surdosage en nicotine, et donc des symptômes peu agréables. Les patchs doivent être collés (chaque matin, le plus tôt possible après le réveil, car le taux maximal de nicotinémie n’est atteint qu’après une heure à 1 h 30 après la pose) sur une surface de peau non irritée, sèche et (quasiment) sans poils (bras, cuisse, tronc, hanche, omoplate), en changeant chaque jour l’emplacement d’application. Effets indésirables : rougeur ou démangeaisons locales, modification du sommeil (si port au cours de la nuit), nausées, céphalées, accélération de la fréquence cardiaque.
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