La rupture est consommée entre le groupement Giphar et ses quelque 1 800 pharmaciens adhérents et la chambre syndicale des groupements et enseignes de pharmacies, Federgy.
Et de deux. Après PHR Group, c’est au tour du groupement Giphar et de ses 1 350 officines de se désolidariser de Federgy, la chambre syndicale des groupements et enseignes de pharmacies. La décision, prise en avril dernier par l’instance politique des élus du groupement Giphar, a été officialisée hier.
Pour Jean-Baptiste de Coutures, président du groupement Giphar, cette rupture est motivée par une divergence de points de vue quant à l’avenir de la profession. Mais surtout, le président récemment élu regrette une absence de consensus entre les groupements membres de Federgy sur la vision de la pharmacie de demain. Il déplore, par ailleurs, une lenteur dans la prise des décisions.
Jean-Baptiste de Coutures insiste également sur le fait que la décision de quitter Federgy n'a pas été prise en concertation avec PHR Group, mais qu'elle « s’inscrit dans la droite ligne de la vision du groupement qui entend préserver son autonomie ».
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