Les pathologies cardiovasculaires sont un facteur d’aggravation, surtout chez les femmes. Elles affectent surtout les fréquences graves. Les antécédents d’accidents ischémiques transitoires, d’accident vasculaire cérébral, de coronaropathie ou de diabète, sont autant de facteurs de mauvaise tolérance et de sévérité de la presbyacousie.
Il existe probablement une sensibilité familiale, car les « jeunes presbyacousiques » (55 à 60 ans) présentent souvent des antécédents familiaux. En revanche, ces sujets sont souvent plus motivés que la moyenne pour se faire dépister et appareiller sans trop attendre.
Enfin, rappelons le rôle néfaste de ce point de vue des médicaments ototoxiques, de l’hypothyroïdie et de l’intoxication alcoolo-tabagique.
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