Le script : « un homme en blouse blanche, portant une casquette de réalisateur, entre dans la pharmacie avec son vélo. Il s'assoit sur un banc, près d'un clap, et parle de Luc Besson et du film Nikita, le comptoir en arrière-plan ». Ce personnage inattendu est joué par Vincent Roubeau. Pharmacien adjoint à Paris, il est aussi passionné de cinéma. Alors pourquoi ne pas concilier sa passion et son métier ? C'est ce qu'il fait dans un programme court bien nommé Clap'n blouse diffusé sur Youtube. « Ça faisait longtemps que je voulais évoquer les pharmaciens dans le cinéma. C'est un prétexte pour parler du 7e art, un exercice pour transmettre ma passion ». Dans Clap'n blouse, on parle de cinéma, on décortique les scénarios, on analyse le jeu des comédiens mais il y a une règle absolue : tous les films ont en commun une scène qui se passe dans une pharmacie. Et ce n'est pas ce qui manque dans la cinémathèque française.
Vincent aime le cinéma depuis son enfance. Après le bac, il décide de suivre cette voie et vise la Fémis (école nationale supérieure des métiers de l'image et du son). Après une année de prépa, c'est la désillusion pour Vincent. « J'étais entouré d'étudiants peu passionnés et cela m'a démotivé ». Coupez ! Il décide alors de mettre de côté le cinéma et de trouver « un métier stable ». « Je suis entré en pharma sans connaître cette profession ».
Le hasard fait bien les choses ; Vincent réussit le concours, et surtout il découvre une formation et un métier qui lui plaisent, à Montpellier d'abord, puis à Paris. Au cours des études, le cinéma n'est jamais loin et se conjugue même avec la pharmacie : « j'ai d'abord réalisé un documentaire pour promouvoir le tutorat puis un film sur les facteurs anti-hémophiliques ». La même année, Vincent rencontre un étudiant, passionné comme lui de films : « à nous deux, on se complète : lui à l'écriture, moi derrière la caméra ». La réalisation, c'est ce qui attire Vincent : « le montage est une forme d'écriture ». Ensemble, ils créent le collectif Magmatelier, un « volcan de créativité ». Aujourd'hui, les projets de tournage s'enchaînent, et les idées ne manquent pas pour le pharmacien trentenaire qui continue à mener de front la pharmacie et le cinéma. Le film ne fait que commencer.
Vincent aime le cinéma depuis son enfance. Après le bac, il décide de suivre cette voie et vise la Fémis (école nationale supérieure des métiers de l'image et du son). Après une année de prépa, c'est la désillusion pour Vincent. « J'étais entouré d'étudiants peu passionnés et cela m'a démotivé ». Coupez ! Il décide alors de mettre de côté le cinéma et de trouver « un métier stable ». « Je suis entré en pharma sans connaître cette profession ».
Le hasard fait bien les choses ; Vincent réussit le concours, et surtout il découvre une formation et un métier qui lui plaisent, à Montpellier d'abord, puis à Paris. Au cours des études, le cinéma n'est jamais loin et se conjugue même avec la pharmacie : « j'ai d'abord réalisé un documentaire pour promouvoir le tutorat puis un film sur les facteurs anti-hémophiliques ». La même année, Vincent rencontre un étudiant, passionné comme lui de films : « à nous deux, on se complète : lui à l'écriture, moi derrière la caméra ». La réalisation, c'est ce qui attire Vincent : « le montage est une forme d'écriture ». Ensemble, ils créent le collectif Magmatelier, un « volcan de créativité ». Aujourd'hui, les projets de tournage s'enchaînent, et les idées ne manquent pas pour le pharmacien trentenaire qui continue à mener de front la pharmacie et le cinéma. Le film ne fait que commencer.
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