La prescription électronique est conçue comme le lien qui permettra d’animer le parcours de soins numérique des patients. À commencer par son intégration dans le DMP : si de nombreux dossiers médicaux partagés ont été ouverts, il semble que pour l’instant leur alimentation en données soit limitée. L’e-ordonnance permettra de faciliter l’usage du DMP, mais pas seulement. Pour Guillaume Gobert, fondateur d’Ordoclic, la prescription électronique facilitera aussi d’autres services proposés : « ça débloque plein de choses, comme par exemple le click & collect qui tel qu’il est pratiqué actuellement fonctionne avec des photos d’ordonnances, en principe illégales. » Mais c’est surtout du côté de la téléconsultation que les prestataires espèrent un coup de pouce. C’est en tout l’un des principaux sujets sur lequel travaille Smart RX, qui a participé et participe encore aux expérimentations menées par l’assurance-maladie. « Nous réfléchissons " au coup d’après ", pour nous, il s’agit d’emboîter en quelque sorte les différents logiciels du groupe Cegedim, les logiciels médicaux mais aussi la téléconsultation sur laquelle nous travaillons avec Docavenue », commente Christophe Zarella, chef de produit marketing chez l’éditeur. Smart Rx et Docavenue devraient donc prochainement lancer une offre qui permettra de lancer une e-prescription suite à une téléconsultation.
Coup de pouce à la téléconsultation et à d’autres services
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Publié le 30/09/2019
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3544
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