« C’est le paradoxe avec le cancer : le patient peut se sentir en bonne santé alors que la maladie progresse, puis, être au fond de son lit tandis que la guérison est amorcée. A ce moment, le pharmacien d’officine a un véritable rôle à jouer. » En deux phrases, la philosophie officinale d’Isidore Rubinstein est résumée.
Point de départ de cette démarche d’accompagnement en oncologie ? La demande de conseils, de la part de généralistes qui souhaitaient favoriser l’élimination des métabolites des chimiothérapies grâce au recours à l’homéopathie. Pour ce titulaire installé depuis 1994 à Strasbourg, la réflexion s’est ensuite élargie et approfondie sur l’intérêt des soins de support, visant l’amélioration de la qualité de vie des malades et l’allongement de l’espérance de vie. « Il ne s’agit pas de proposer des alternatives aux traitements anti-cancéreux, mais de conseiller des remèdes complémentaires, de l’homéopathie à la diététique, en passant par l’aromathérapie, et même de l’onco-esthétique. »
Toute l’équipe officinale est formée pour accompagner les patients, venus par le bouche-à-oreille ou envoyés par les médecins de ville et de l’hôpital. La pharmacie elle-même est agencée autour de la mise en place des soins de supports. Ainsi sont aménagés un poste assis, respectant l’intimité des échanges, et deux salles, l’une réservée aux prothèses et à la lingerie adaptées aux maladies du sein, l’autre spécifique à l’onco-esthétique, accueillant une fois par semaine une socio-esthéticienne.
Autre outil à la disposition des malades : un carnet de suivi officinal permettant de regrouper les coordonnées de tous les professionnels de santé, de recueillir le poids, la température et les impressions du patient sur son moral et ses traitements.
La démarche originale menée par Isidore Rubinstein a été saluée par la nomination au Prix Galien, pour la deuxième année consécutive, dans le volet « Accompagnement du patient ».
Point de départ de cette démarche d’accompagnement en oncologie ? La demande de conseils, de la part de généralistes qui souhaitaient favoriser l’élimination des métabolites des chimiothérapies grâce au recours à l’homéopathie. Pour ce titulaire installé depuis 1994 à Strasbourg, la réflexion s’est ensuite élargie et approfondie sur l’intérêt des soins de support, visant l’amélioration de la qualité de vie des malades et l’allongement de l’espérance de vie. « Il ne s’agit pas de proposer des alternatives aux traitements anti-cancéreux, mais de conseiller des remèdes complémentaires, de l’homéopathie à la diététique, en passant par l’aromathérapie, et même de l’onco-esthétique. »
Toute l’équipe officinale est formée pour accompagner les patients, venus par le bouche-à-oreille ou envoyés par les médecins de ville et de l’hôpital. La pharmacie elle-même est agencée autour de la mise en place des soins de supports. Ainsi sont aménagés un poste assis, respectant l’intimité des échanges, et deux salles, l’une réservée aux prothèses et à la lingerie adaptées aux maladies du sein, l’autre spécifique à l’onco-esthétique, accueillant une fois par semaine une socio-esthéticienne.
Autre outil à la disposition des malades : un carnet de suivi officinal permettant de regrouper les coordonnées de tous les professionnels de santé, de recueillir le poids, la température et les impressions du patient sur son moral et ses traitements.
La démarche originale menée par Isidore Rubinstein a été saluée par la nomination au Prix Galien, pour la deuxième année consécutive, dans le volet « Accompagnement du patient ».
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