On se plaint beaucoup des petites phrases d'Emmanuel Macron, par exemple les « Gaulois réfractaires » ou « il suffit de traverser la rue » pour trouver un emploi, mais il y a pire. On oublie que certains potentats rivalisent de vulgarité. Nous avions un Poutine qui allait « chercher les terroristes jusque dans les chiottes », un Rodrigo Dutertre (Philippines) qui traitait Obama de « fils de pute », (il est vrai qu'il s'est ensuite excusé) et maintenant nous avons le dénommé Jaïr Bolsonaro, qui est arrivé largement en tête au premier tour des élections brésiliennes et tient des discours soignés. C'est lui en effet qui a affirmé que la dictature brésilienne (1964-1985) n'aurait pas dû se contenter de torturer les opposants mais aurait dû les tuer et qui, s'adressant à une dame mécontente de lui, lui a dit : « Tu est trop moche pour que je te viole ». Mes citations sont authentiques, et vous voudrez bien m'excuser de les avoir publiées, étant entendu que ma démonstration aurait été vaine si vous ne les aviez pas lues.
Humeur
Cela va mieux en le disant
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Publié le 11/10/2018
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Richard Liscia
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3464
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