Valérie Casejuane, titulaire à Paris, raconte comment l’automatisation de sa toute petite officine a fait progresser son chiffre d’affaires (CA) de 50 % en 4 ans.
Pour Valérie Casejuane, l’automatisation de sa toute nouvelle officine était une évidence. « J’ai repris cette pharmacie du 15e arrondissement parisien en mai 2011, sa surface est de 28 m2, il était donc indispensable d’optimiser le back-office, raconte-t-elle. Et la meilleure façon de le faire a été d’établir un automate dans le sous-sol qui occupe une surface équivalente. » La jeune titulaire va à Pharmagora, s’adresse à plusieurs prestataires, et choisit Mekapharm, choix dont elle se dit très satisfaite, à la fois pour la simplicité d’usage et l’efficacité du SAV. Valérie Casejuane n’a pas de souci d’endettement et peut financer l’acquisition de son automate, quelque 80 000 euros. Un système de transitique permet de faire arriver les produits au comptoir, ce qui, selon elle, ne lasse pas de surprendre et séduire la clientèle. Les gains sont immédiats. « Une minute suffit pour traiter une ordonnance, même importante », affirme-t-elle. Un gain de temps qui bénéficie notamment au patient. Et les résultats ne se sont pas fait attendre, le CA de l’officine, est passé de 800 000 euros à 1,2 million d’euros en quatre ans.
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