La Grèce, qui prendra la présidence semestrielle de l’Union européenne en janvier prochain, estime avoir rationalisé efficacement son système de santé, grâce notamment à la mise en place d’une politique active de génériques, d’ordonnances électroniques et de suivi des prescriptions. Adonis Georgiades, ministre grec de la Santé, présentait ces mesures lors du forum de Gastein. Selon lui, la réforme de la santé, qui inclut aussi d’importantes baisses de prix, de salaires des professionnels et de prise en charge des patients, a permis sauver la Sécurité sociale sans remettre en cause l’accès aux soins de toute la population. Elle a mis aussi un terme aux surprescriptions et fausses facturations qui « coûtaient des milliards au pays ». Mais nombre d’observateurs estiment, au contraire, que de plus en plus de Grecs sont exclus des soins, sans parler des professionnels de santé eux-mêmes qui subissent de plein fouet les effets de cette politique.
Le cas grec
Publié le 17/10/2013
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3038