« Comment obtenir ce taux quand les deux principaux prescripteurs de la commune s’obstinent à noter non substituable sur tous les médicaments… et que la caisse est impuissante ou, pire, n’intervient pas, malgré nos appels au secours ? » s’alarme notre consœur Sylvie, sur le Quotidiendupharmacien.fr. Pourtant, assure Gilles Bonnefond, cette donnée est désormais prise en compte par les caisses d’assurance-maladie. En effet, explique le président de l’USPO, lors de la facturation d’une ordonnance, l’officinal, équipé de la norme 1.40 de Sésam-Vitale, peut signaler la présence d’une mention « Non substituable » à côté d’un produit. « Les caisses ont maintenant une information qu’elles n’avaient pas auparavant, indique-t-il. Ces signalements évitent que les pharmaciens soient injustement pénalisés. »
Le NS sous surveillance
Publié le 28/11/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3050
Dispensation du médicament
Tramadol et codéine sur ordonnance sécurisée : mesure reportée !
Formation continue
Transmission automatique des actions de DPC : les démarches à faire avant le 30 novembre
Relocalisation industrielle
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine