Des annonces faites alors qu’il était interrogé sur l’explosion du taux d’incidence chez les 6-10 ans, désormais à 750 pour 100 000 habitants, soit plus du double de ce qui est observé en population générale. Logique, selon le ministre, puisque « les enfants ne peuvent pas aujourd’hui être vaccinés alors que le vaccin réduit par 4 ou 5 le risque de se contaminer ». Les enfants faisant peu de formes graves, la vaccination vise donc en priorité les plus fragiles, puis s’étendra à tous les enfants dans une stratégie de cocooning puisque « limiter la propagation du virus, y compris dans les populations qui ne font pas de formes symptomatiques, permet d’éviter la diffusion vers les populations plus fragiles ».