L’homéopathie serait-elle la seule à tirer son épingle du jeu ? Didier Le Bail, vice-président du syndicat national de la préparation et de l’homéopathie (SNPH) recense ainsi aujourd’hui plus d’une cinquantaine de titulaires parmi les membres d’un syndicat autrefois dominé par l’industrie. « Oubliée » par les BPP de 2007, l’homéopathie a bénéficié, via le SNPH, de l’écriture de ses propres recos et fiches de paillasse « dans l’esprit du texte » et a entrepris des études visant à prouver la stabilité des produits, nécessaire à l’édition d’une date de péremption. Didier Le Bail assure aujourd’hui que cette démarche garantit un encadrement du préparatoire opposable à tout contrôle des pouvoirs publics.
Le cas particulier de l’homéopathie
Publié le 28/05/2015
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3182
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