Le mensonge et la bassesse de nos gouvernements au garde-à-vous de Monsieur Leclerc ne vous font pas réfléchir et vous révolter ? Où êtes-vous passés les petits étudiants qui ont trimé six ans pour avoir un diplôme que l’on veut maintenant réduire à néant ? Où sont les belles promesses de nous intégrer dans le système de santé en nous offrant des « missions » qui nous rapportent que le temps passé à faire du travail de prévention et de conseil à nos patients qui, malheureusement, n’ont pas toujours le conseil et le soutien de leurs premiers soignants ? Et tout ça pour la monnaie-du-pape ! Révoltez-vous, nous avons des compétences reconnues - surtout par nos concitoyens - pas par nos gouvernants que je soupçonne de vouloir jouer dans la cour de petits messieurs ne pensant qu’à leur rentabilité qui couvre leur rapacité et qui se foutent éperdument de la santé publique du moment que le « business » est au top et rapporte.
Nos syndicats, qu’en dire ? Je ne suis pas adhérent à l’USPO, je vais donner ma démission à la Fédé (actif depuis 37 ans) qui n’a rien compris aux problèmes, mais je reconnais à Monsieur Bonnefond une forme de lutte et je l’en félicite.
Vieux pharmacien, prêt à « couper la coletta », comme l’on dit dans mon Sud-Ouest, je ne rejoindrai aucun de nos syndicats, pensant que nous sommes tous des grands fautifs de ne pas avoir prévu tout ce qui arrive.
Alors, réveillez-vous, c’est le message d’un « vieux » (par l’âge !) mais pas pour l’amour d’un pharmacien. Révoltez-vous !
Aux armes pharmaciens,
Aux armes citoyens.
À l’aide !
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