L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en place, depuis le 1er septembre, une procédure de gestion anticipée des ruptures et risques de rupture dans la disponibilité des dispositifs médicaux (DM), y compris ceux de diagnostic in vitro (DMDIV), dits indispensables. Cette procédure concerne les industriels qui fabriquent et/ou mettent sur le marché ces produits. Pour les aider, l’ANSM met à disposition un « logigramme de prise de décision », ainsi qu’un formulaire de déclaration de rupture ou de risque de rupture accompagné d’un guide explicatif. Si la gestion préventive des industriels (contingentement, augmentation des capacités de production, identification de solutions alternatives) ne suffit pas, l’ANSM vient en soutien dans la recherche de solutions dans l’intérêt des patients.
Dispositifs médicaux
Mieux gérer le risque de rupture
Par
Publié le 03/09/2021
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien
A la Une
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine
Médication familiale
Baisses des prescriptions : le conseil du pharmacien prend le relais
Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens
Retraite des pharmaciens : des réformes douloureuses mais nécessaires