Le CNGPO (Collectif national des groupements de pharmaciens d’officine) déplore l’action en justice entreprise par l’UDGPO (Union des groupements de pharmaciens d’officine) contre la publicité de Michel-Edouard Leclerc sur le médicament. Dans un communiqué, le CNGPO, qui fédère 14 groupements, indique que « la convoitise de Leclerc sur le médicament doit être combattue sur le terrain et non dans une cour de justice ». Pour Pascal Louis, président du CNGPO, ce sont les garanties de « sécurité, de compétence, de disponibilité et de proximité » qui constituent les meilleures armes de la profession dans son combat contre le distributeur. Et la loi HPST doit encore affirmer les pharmaciens dans leur démarche de services et d’offre de soins. « Toutefois, pour en profiter, le patient devra en être informé. Le pharmacien devra donc absolument le faire savoir à la fois dans son officine mais aussi par le biais de campagnes d’information et de communication. Pour cela, une adaptation du code de la santé publique est indispensable », argumente Pascal Louis. Le CNGPO, qui milite depuis de nombreuses années pour une ouverture de la communication officinale, préfère ce terrain pour affronter la grande distribution.
Publicité Leclerc
Le Collectif des groupements désapprouve l’idée d’un procès
Publié le 15/04/2010
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2742
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