Le CNPS, principale intersyndicale des libéraux de santé, juge que l’application au 1er janvier 2013 du DPC, tel qu’il est formalisé, pose de « nombreuses difficultés » à l’ensemble des professions libérales de santé.
Le CNPS fait valoir que les professions paramédicales ont besoin de la création d’une commission scientifique (CS) propre pour arrêter les thèmes de formation qui concernent leur exercice.
Surtout, souligne l’intersyndicale, « le plus grand flou règne sur le financement du dispositif ». Les libéraux de santé souhaitent que les fonds conventionnels affectés à la formation professionnelle conventionnelle (FPC) pour chaque profession soient « pérennisés et sanctuarisés ». Le CNPS demande au gouvernement de reporter la mise en œuvre du DPC et d’assurer une période transitoire supplémentaire d’un an jusqu’au 1er janvier 2014, le temps d’une concertation avec les syndicats représentatifs.
A la Une
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine
Médication familiale
Baisses des prescriptions : le conseil du pharmacien prend le relais
Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens
Retraite des pharmaciens : des réformes douloureuses mais nécessaires