Associée à des pratiques sexuelles à moindre risque, la PrEP réduit de manière extrêmement importante (donc sans le supprimer totalement) le risque d’infection par le VIH-1 par voie sexuelle chez les adultes et les adolescents (à partir de l’âge de 15 ans). La PrEP ne protège pas contre les autres infections sexuellement transmissibles, notamment la gonococcie, la syphilis, l’herpès génital et les hépatites virales B et C. Et il ne faut pas confondre la PrEP avec le traitement post-exposition qui doit être mis en œuvre si possible dans les 4 heures et au maximum 48 heures après un rapport à risque (ou une exposition au sang) ; celui-ci dure 28 jours et associe deux inhibiteurs nucléotidiques de la transcriptase inverse et un inhibiteur de protéase.
Dans quelles situations cliniques ?
Publié le 03/09/2021
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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