Des corses ont manifesté samedi dernier contre les violences policières. Ces violences ont été commises le 30 mars au cours d’une manifestation de protestation contre le verdict qui a condamné Yvan Colonna. A Bastia, des manifestants ont utilisé des explosifs pour combattre les forces de l’ordre, qui comptent quelques blessés graves. Les policiers n’ont pas encore décidé de manifester contre les violences des voyous. Arrivée dimanche sur les lieux, la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a dénoncé les armes diverses, par exemple des boules de pétanque, symbole immense du pacifisme méditerranéen, transformées en bombes, qui ont été utilisées, ainsi que les graffiti insultant la veuve du préfet Érignac, assassiné froidement il y a huit ans. Violence de la police, violence de la justice, violence de l’État incarné par son préfet, il n’y pas de criminels en Corse, il n’y a que des martyrs. Et si un préfet a été lâchement abattu, il n’y a, bien entendu, pas de coupable.
HUMEUR
Une leçon de logique
Publié le 09/04/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
› RICHARD LISCIA
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2654
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion