Il faut savoir la respecter car elle peut être bénéfique : certains patients tiennent debout et marchent « grâce » à la spasticité. On ne traite que les spasticités fonctionnellement gênantes, principalement par le baclofène-Liorésal par voie orale ou intrathécale (via une pompe placée sous la peau dans la paroi abdominale reliée au LCR). On peut aussi avoir recours au diazépam-Valium, à la gabapentine-Neurotin, au dantrolène-Dantrium. Une association de dérivés du cannabis, delta-tétrahydrocannabinol + cannabidiol (Sativex spray buccal) a obtenu en France une AMM pour le traitement des symptômes liés à une spasticité modérée à sévère. En cas de retentissement fonctionnel on fait appel aux toxines botuliques par voie IM. Elles bloquent la libération de neurotransmetteur au niveau de la jonction neuromusculaire. Leur action dure 3 à 4 mois et l'effet est réversible
Le traitement de la spasticité
Publié le 03/02/2020
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendupharmacien.fr
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion