Établies en partenariat avec le service de gériatrie des hôpitaux universitaires de Strasbourg et la commission paritaire régionale des médecins, une série de recommandations sur les dangers d’une prescription en première intention d’anti-inflammatoires non stéroïdiens aux personnes âgées a été adressée par le service médical aux médecins de la région, puis complétée par des recommandations sur leur délivrance par les pharmaciens. Validées par la commission paritaire régionale des pharmaciens, elle a été envoyée ensuite à tous les officinaux du Grand Est, et fera en mars l’objet d’une séance de formation continue assurée par l’APEPPU, l’association alsacienne de formation permanente des pharmaciens.
Rappelant le rapport bénéfice/risque défavorable lié à la vulnérabilité des personnes âgées, le document incite les officinaux à leur poser quatre questions simples lors de la délivrance d’un AINS, prescrit ou en automédication. Les pharmaciens devraient leur demander si elles souffrent d’une maladie digestive ou d’une maladie rénale, si elles prennent des médicaments pour fluidifier le sang et s’enquérir des médicaments qu’elles prennent, prescrits ou en automédication.
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